L’Union européenne doit accepter la main tendue du Premier ministre grec Alexis Tsipras, sinon l’union politique éclatera, a estimé ce mardi son allié espagnol Pablo Iglesias, le chef de Podemos, craignant l’arrivée de l’extrême droite.
« Si la troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, FMI, créanciers de la Grèce), qui n’a rien à voir avec le projet de l’union, ne prend pas la main tendue par Alexis Tsipras, ce que nous aurons peut-être, à l’avenir, ce sont des dirigeants comme Marine Le Pen dans l’Eurogroupe », a-t-il déclaré à la chaîne publique TVE.
« Ce serait la fin de l’union politique de l’Union européenne et de son projet démocratique », a poursuivi le chef du parti antilibéral allié du grec Syriza, qui partage avec lui la dénonciation des politiques d’austérité.
« Tsipras ne s’est pas opposé à l’Union européenne. Ce qu’il a fait c’est défendre le projet de l’Union européenne », a déclaré Pablo Iglesias, dont le parti s’est hissé à la troisième place lors des élections régionales et municipales du 24 mai.
« Nous sommes profondément proeuropéens »
Podemos, formation née en janvier 2014, avait remporté dès le mois de mai 2014 et à la surprise générale, cinq sièges au Parlement européen. Comme Syriza, il défend un projet d’Europe plus sociale et moins financière. « Alexis et moi, nous avons une chose en commun. Nous sommes profondément proeuropéens mais nous sommes démocrates », a affirmé Pablo Iglesias.
« Etre démocrate en Europe suppose d’admettre que la base politique du projet européen est la prospérité et la défense des droits sociaux ». Pour lui, ce sont « les institutions comme la troïka qui ont contribué à une situation désastreuse touchant surtout les pays du Sud qui détruisent l’Europe, qui s’opposent au projet politique de l’Union, en imposant une sévère politique d’austérité ».
Alexis Tsipras « n’a pas cédé sur les salaires, n’a pas cédé sur les retraites, et a maintenu un impôt sur les grandes fortunes », a-t-il par ailleurs assuré. La Grèce, au bord du défaut de paiement, doit trouver un accord avec ses partenaires européens sur son budget et des réformes pour qu’ils libèrent une aide de sept milliards d’euros suspendue depuis l’été 2014.
AFP
si les gens n’ouvrent pas les yeux nous allons nous retrouver comme dans les années trente et quarante à donner notre voisin par peur des représailles.le fascisme est a
Bonjour un peu de reflexion , la Grece a eté le berceau de l humanité mais nous européens avons nous le droit de laisser ce peuple traité en parias honte a TOUS LES AMIS DE MERKEL , autre chose ,et je me repette la 2 république espagole a eté un phare pour la democratie EN 1931 LES FEMMES ESPAGNOLES AVAIENT le droit de vote ,la secu les retraites etaient instaurés ,les femmes avaient des postes tres IMPORTANT dans cette république en 1936 lorsque les faschos de FRANCO ont commencés a la detruire aidés par MUSSOLINNI ET HITHLER la FRANCE bien pensante de DALADIER ET DE L ANGLAIS CHAMBERLAIN ONT laissés faire cette agression et oui ils AVAIENT SIGNés cette supercherie du pacte de non agression le fameux traité de MUNICH AVEC ADOLF ET BENITO OH QU ILS ETAIENT FIERS CES SALAUDS » heureusement que les ROUGES ET AUTRES DONT MALRHAUX ONT LEVés la tetes fièrement et sont venus au secours des republiblicains ,qui apprait la defaite en 39 SONT DEVENUS avec eux des indésirables , sur le sol FRANCAIS de DALADIER ?ET CEUX QUI N ONT PAS PU S ENFUIRS DE SES CAMPS DE CONCENTRATIONS INSTAURES DANS LA FRANCE » ,et devenirs des résistants de la premiere heure , » SONT PARTIS PAR LES SOINS DE PETAIN POUR LE LONG VOYAGE DE MAUTHAUSEN « y a t il besoins de repeter cela , et UN EXEMPLE DES TEMPS DE LACHETés que nous vivons