Les parcs font office de lieux de détente et de rencontre au sein des villes. Pourtant, certains citadins, trop détendus, les souillent et n'éprouvent aucune reconnaissance à leur égard.
Ce printemps, les parcs de la Ville de Luxembourg ont plus que jamais été des lieux de rencontre. Confinés chez eux, les citadins y ont trouvé des endroits où respirer et où se dégourdir les jambes poussés par une météo des plus clémentes. De phase de déconfinement en phase de déconfinement, leur popularité n'a fait qu'augmenter au point de donner lieu à des dérives. Les citadins, privés de bars et de discothèques, ont transformé les parcs et espaces verts en endroits où faire la fête et décompresser après des semaines d'enfermement. Certains ont même oublié les bonnes résolutions en matière d'écologie qu'ils avaient prises l'année passée et laissé traîner les restes de leurs fêtes, ainsi que des masques à la Kinnekswiss et autour de la forteresse des Trois-Glands. Des photographies prises par différents promeneurs en ont témoigné au début du mois dernier et provoqué l'indignation et la peur d'une seconde vague. Cependant selon Sonja Fandel, cheffe du service des parcs de la Ville de Luxembourg : «Après le confinement, le service n'a pas eu beaucoup plus ...Cet article est réservé aux abonnés.
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