Le Quotidien Indépendant Luxembourgeois
Voilà déjà deux ans que les habitants du quartier Gare ont tiré la sonnette d’alarme concernant la situation de leur quartier.
La situation dans le quartier Gare et plus particulièrement autour du «haut» de la rue de Strasbourg fait, bien malheureusement, l’objet d’articles récurrents dans nos colonnes. Le secteur est considéré comme la plaque tournante du marché de la drogue au Grand-Duché. Les autorités tentent aussi de confiner, tant bien que mal, la prostitution dans cette zone. La situation reste malgré tout tendue et les habitants montent parfois au créneau pour faire valoir leur droit à la quiétude comme tous les autres habitants de la capitale.
Ce fut le cas de façon spectaculaire en septembre 2013, juste avant la rentrée des classes. Près de 200 riverains de la rue de Strasbourg avaient vertement pris à partie le bourgmestre d’alors, Xavier Bettel, et les représentants des forces de l’ordre durant une réunion publique. Le thème de cette rencontre était le sentiment d’insécurité. Toujours de façon anonyme, histoire d’éviter les regards pesant des dealers, toxicomanes et autres prostituées, certains habitants du quartier avaient confié leur désarroi dans les colonnes du Quotidien.
Descentes et contrôles
«Les trafiquants sont arrêtés par la police, mais sont immédiatement relâchés», protestait notamment l’un d’entre eux. Cette colère s’est exprimée alors que la situation s’était dégradée depuis deux ans. Les responsables politiques d’alors avaient promis d’agir. Le ministre de l’Intérieur Jean-Marie Halsdorf puis son successeur, le ministre de la Force publique Étienne Schneider, avaient donné des consignes aux forces de l’ordre afin d’augmenter le nombre de patrouilles à pied, en uniforme, et de procéder à des descentes fréquentes dans les secteurs connus pour être le lieu de trafic de drogue, cafés compris.
Malheureusement, la lutte contre la drogue est un travail de longue haleine et ce problème est loin d’avoir disparu du quartier. La situation risque de devenir encore plus compliquée si les dealers commencent à s’installer dans les résidences du quartier. Les habitants peuvent faire abstraction de ce qui se passe dehors dans la rue une fois dans leur appartement… quand la délinquance pénètre jusque dans les résidences, il devient très difficile de dormir sur ses deux oreilles. Et quelle est la prochaine étape?
L. D.
gna gna gna gna…
Le précédent commentateur a manifestement des progrès à faire dans la langue de Molière!
Je suis à chaque fois énervé par les litotes des journalistes. « Quartier sensible » doit se traduire par « quartier pourri ». Pourri par la drogue, la prostitution, les boîtes, etc.
De même qu’en France, lorsqu’on parle de « jeune », il faut comprendre « jeune arabe ou noir ». La déformation du langage montre une déformation plus profonde: celle ne n’être plus capable d’affronter le monde tel qu’il est.
Luxembourg – Le quartier gare de plus en plus sensible ; quand j’en t’on parler sans vie ou vie et visiter ces quartier comme je lu dans ces articles, Je ne peux pas me mettre a la table des sociologies et des expert …..Mais la vérité si vous trouviez des places des lieux des quartiers et même des payé, sachiez vous l’avenir de ces lieux en question ne trouvons pas les succès dans presque tout les domaines et plus précisément la moindre chose dans leurs vie… pour réussir, il faut travailler dur pour que nous puissions protéger nos enfants a une meilleures vie émanant de cette fléau fatale, le rôle de l’état qui maintien de l’ordre si un dixième et le reste et claire comme le jour….Luxembourg, pour moi et pour d’autre c’est payé comme se nom l’indique ‘’Lux’’.il faut pas détruire cette belle image , Bon, courage et belle avenir, Plein de la joie et de prospérité