Le français est la 5e langue la plus parlée du monde, la communauté francophone compte 300 millions de personnes dans le monde… dont nous, le Grand-Duché ! L’institut français du Luxembourg propose tout un programme en mars, pour le Mois de la francophonie.
L’Institut français du Luxembourg joue le jeu du «Mois de la francophonie» depuis trois ans. De nombreux partenaires luxembourgeois participent à un programme culturel et éducatif riche chaque année. Le but ? Mettre en avant la langue française et la culture francophone au Grand-Duché.
Cette année, la programmation se décline autour d’un focus particulier «sur l’Afrique d’une part, et sur l’idée de frontière d’autre part», explique l’Institut.
Les spectateurs retrouveront notamment les évènement suivants :
• Lecture musicale sur une proposition du célèbre Burkinabé Etienne Minoungou, qui mettra en lumière quelques grands auteurs africains, de Césaire à Dieudonné Niangouna (Théâtre des Capucins, 6 mars à 15 heures)
• La pièce Frontalier, de l’écrivain luxembourgeois Jean Portante, interprété par le comédien français Jacques Bonnaffé, et mis en scène par Frank Hoffmann (13, 14-17h-, 22, 23 et 26 mars – 20h TNL – Théâtre National du Luxembourg).
• D’autres voix francophones vont se faire entendre au TNL, avec notamment la première mondiale de Et celle de l’écrivain Jean-Philippe Toussaint, avec La Disparition du Paysage, interprétée par Denis Podalydès, sociétaire de la Comédie-Française.
• Des spectacles, des concerts au MUDAM, au CAPE d’Ettelbruck, mais aussi beaucoup de projets éducatifs sont programmés, comme des ateliers de slam dans les écoles, des masterclass d’écriture créative, ou bien des concours d’écriture en langue française à l’intention des jeunes, comme le Prix Victor Hugo de la Francophonie, organisé avec le soutien de l’Association Victor Hugo et Mansart S.A.
LQ