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Le Centre de soins pour la faune sauvage en manque de vétérinaires


Tous les animaux seuls ne nécessitent pas une prise en charge par Centre de soins pour la faune sauvage.

La haute saison commence pour le Centre de soins pour la faune sauvage de Dudelange, et le besoin en vétérinaires se fait de plus en plus pressant.

Que de chemin parcouru depuis le recueil des premiers animaux, il y a déjà trente ans! De 83 bêtes secourues en 1988 au sein de ce qui deviendra le Centre de soins pour la faune sauvage et qui n’était alors que le domicile de Jean-François et de son épouse Janny, le centre de Dudelange est passé à 3 730 pensionnaires en 2020!

Pour la grande majorité d’entre eux, «les trois quarts environ», il s’agit d’oiseaux. S'ensuivent des mammifères, comme les renards ou les écureuils, et enfin, dans 1 % des cas, des animaux exotiques et des espèces invasives.

Les raisons de leur venue au centre sont multiples : hypo ou hyperthermie, dénutrition, fractures, problèmes de parasites, zoonose... C'est d’ailleurs cette multitude de cas qui devrait ravir les potentiels vétérinaires désireux de travailler dans un environnement ...


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