Les murs des abattoirs de Hollerich sont couverts de graffitis et de tags, il suffit de prendre l’autoroute pour s’en rendre compte.
Cathy Fayot (LSAP), qui a remarqué que les murs sitôt nettoyés sont déjà retagués, se demande si la Ville a porté plainte. «Non, a répondu l’échevine Simone Beissel, car pour identifier les auteurs, il faudrait installer un coûteux système de caméras de surveillance et nous ne voulons pas réaliser de gros investissements ici.» Même si les bombes de peinture se sont exprimées bien au-delà du skatepark.
Le Quotidien