Accueil | Luxembourg | Esch : Sébastien Cayotte veut déjà se remettre en selle

Esch : Sébastien Cayotte veut déjà se remettre en selle


L'Eschois de 21 ans carbure aux défis, au profit de la fondation Kriibskrank Kanner. (Capture vidéo Challenging for Smiles)

Après Luxembourg-Paris en août dernier et Luxembourg-Amsterdam en avril, le tout en Vel’Oh et au profit de la fondation Kriibskrank Kanner, l’Eschois Sébastien Cayotte va repartir l’année prochaine.

«La plus belle histoire de l’été». C’est ainsi que la directrice de la fondation Kriibskrank Kanner, Anne Goeres, avait qualifié le défi réussi, en août dernier, par Sébastien Cayotte. L’Eschois venait de parcourir, en moins d’une semaine, Luxembourg-Paris (environ 510 kilomètres) à Vel’Oh dans le but de récolter des dons en faveur de l’association qui aide les enfants atteints d’un cancer ou d’une maladie rare et leurs familles. Au final, Sébastien Cayotte récolte 2 870 euros en faveur de Kriibskrank Kanner.

Moins d’un an plus tard, l’étudiant en enseignement primaire à Bruxelles récidive. Toujours à Vel’Oh et depuis Luxembourg-Ville, il se rend à Amsterdam, via Bruxelles, en six jours. «Ce défi a permis de récolter 960 euros pour la fondation. C’est beau», indique l’Eschois de 21 ans dans une vidéo, postée en fin de semaine sur la page Facebook Challenging for Smiles.

«Plus de nouveautés, plus de défis, moins de confort…»

Il poursuit : «Alors oui, je sais ce que vous allez me dire : mais Séb, l’année dernière, on avait récolté plus de 2 800 euros. Et vous avez raison. C’est justement là que je dois me remettre en question. Si vous avez donné moins et que moins de personnes ont aimé la page, c’est qu’il y a une raison.»

Alors Sébastien Cayotte annonce que «pour la prochaine, il faut qu’il y ait plus de nouveautés, plus de défis, moins de confort…» Mais l’Eschois «ne veut pas dévoiler (ses) idées pour le moment de peur d’annoncer quelque chose qui finalement ne se fera pas». «On garde l’idée des trips à Vel’Oh, confie-t-il toutefois. La prochaine par contre, comme je l’ai dit, ira plus loin et connaîtra certaines modifications. Cela va demander beaucoup de préparation autant au niveau physique que de l’organisation, donc cela ne va pas se faire avant l’année prochaine. En attendant, il y aura d’autres défis et d’autres vidéos. Et n’oubliez pas : aimer, partager, donner !»

Le Quotidien