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[Diaporama] Le Blues’n Jazz Rallye en images


La ville basse de Luxembourg-ville a accueilli, samedi soir, la 23e édition du Blues’n Jazz Rallye, autrement dit, 44 concerts, de 16 h à 4 h, dans 11 scènes extérieures et 14 intérieures. Sacré programme!

La météo était parfaite pour un festival en plein air, avec une température chaude sans être caniculaire et un ciel parfois couvert mais sans la moindre goûte de pluie à déplorer. Ce 23e Blues’n Jazz Rallye, organisé par le Luxembourg City Tourist Office en partenariat avec le Blues Club, a donc pu dérouler son vaste programme sans incident majeur.

Organisé depuis 1995, quand le Luxembourg était pour la première fois capitale européenne de la culture, le Blues’n Jazz Rallye a innové l’an dernier en intégrant le Pfaffenthal au projet, en plus des historiques quartiers du Grund et de Clausen, et en proposant une ouverture dans l’après-midi, au plateau du Rham, pour convier les pensionnaires seniors du CIPA à la fête. Nouveauté 2017 : une préouverture vendredi soir, dans la Ville-Haute, avec Krzysztof Kobylinski et Delta Moon; l’occasion de célébrer comme il se doit les vingt ans du Blues Club, partenaire historique du festival.
Pour le reste, «on ne change pas un système qui marche et qui a fait ses preuves», lance Luc Thillmann, programmateur au LCTO et cheville ouvrière du Blues’n Jazz Rallye.

Un public de quartier au Pfaffenthal

«Le but principal de la manifestation est de donner, le plus possible, aux groupes luxembourgeois la possibilité de se faire connaître par un vaste public, en jouant sur une belle scène avec un son au top. Après, on complète le programme avec des stars de renommée internationale, qui ont des budgets abordables.»
Un mélange parfaitement représenté par le premier concert de la journée, qui réunissait sur scène les Français du Matthieu Danesin Quartet et le vibraphoniste grand-ducal Ben Konen. Une ouverture de manifestation musicalement de qualité, mais un peu tristounette, commencée en retard, sans lancement officiel ni discours de bienvenue et devant un public trop rare.
Rien à voir avec le reste de la soirée qui a vu plusieurs milliers de festivaliers déferler dans la ville basse. Enfin, surtout dans le Grund et à Clausen, le Pfaffenthal, plus distant, attirant pour l’heure un public «principalement du quartier», reconnaît l’organisateur.

Pablo Chimienti

Retrouvez un dossier de deux pages dans notre édition papier du lundi 31 juillet

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