Benjamin Stock, 10 ans seulement, est fan de batterie. Il suit les cours de l’école de musique LJF. Ses vidéos cartonnent. Mais surtout le gamin de Rimling a été remarqué par Nicola Sirkis, le leader d’Indochine. Incroyable destin !
Benjamin Stock est haut comme trois pommes. Début 2020, à 9 ans et demi, le gamin participe à la finale des jeunes talents organisée par le Lions club de Sarreguemines. Il fait un cover d’Indochine. Et c’est là que tout s’emballe. Nicola Sirkis, le chanteur du groupe , publie la vidéo sur son compte Insta et Twitter. En quelques semaines seulement, les compteurs s’emballent. Le film est vu par plus de 100 000 internautes. Incroyable, mais vrai.
Plus de 97 000 vues au total pour mon cover de 3ème sexe d’Indochine ❤️ en tout juste 2 semaines…..et tout ça grâce à un Grand Artiste,avec un cœur énorme NICOLA SIRKIS ❤️????Vive Indochine ❤️
Publiée par Benjamin Stock,Batterie,Drum cover sur Dimanche 23 février 2020
«C’est surréaliste»
L’aventure continue pour l’élève de l’école de musique LJF de Sarreguemines. «Malgré les confinements et toutes les scènes annulées à cause du Covid, raconte son papa, Damien, originaire de Rimling, Benjamin continue à se faire remarquer sur les différents réseaux. Avec de nombreuses vues et toujours plus d’abonnés. C’est assez surréaliste !» Nicola Sirkis suit toujours le jeune batteur. «Il ne le lâche plus. Il s’est abonné à son fil Twitter, il le met en avant très régulièrement, comme les très nombreux fans du groupe.» Benjamin Stock, en reprenant son répertoire, est un peu devenu la mascotte d’Indochine ! Respect !
Un nouveau rêve
À la batterie, le petit gaillard détonne. Et il déménage. À tel point que la chaîne TMC lui a consacré un reportage. «Les reporters de l’équipe de Yan Barthes, pour l’émission Quotidien, sont même venus chez nous courant octobre, sourit Damien Stock. Leur reportage n’est pas encore bouclé, à cause de la crise sanitaire, mais il sera bientôt diffusé. Affaire à suivre !» À bientôt 11 ans, Benjamin a aujourd’hui un autre rêve. Au-delà des écrans. Des réseaux sociaux aussi. C’est de rencontrer Nicola Sirkis en personne. Une émotion de plus dans ce parcours exceptionnel. Fabuleux destin.
Jonathan Breuer (Le Républicain lorrain)