La justice reproche à une famille algrangeoise, dont la mère a été condamnée en 2015 pour séquestration d’une personne handicapée, d’avoir violenté et abusé de la faiblesse d’un Luxembourgeois recueilli chez eux, décédé dans leur cave, où il était logé. Délibéré le 18 mai.
Le 19 février 2015, les pompiers découvraient le corps sans vie d’un homme gisant dans le sous-sol d’une maison à Algrange, le corps décharné, le visage tuméfié, non loin d’excréments de chien. Une sordide histoire, à en croire le résumé de ce dossier évoqué par le président Alexandre Gantois, ce mardi 13 avril.
Le contexte de l’affaire fait référence à une autre condamnation tombée sur la tête de la logeuse du Luxembourgeois : l’ agression d’un handicapé, séquestré et violenté pendant toute une nuit dans un appartement à Algrange, qui a valu à la mère de famille un emprisonnement ferme… en mai 2015. Vingt-quatre mois.