Le Quotidien Indépendant Luxembourgeois
On en sait un peu plus sur les circonstances du drame de jeudi, à Sarrebourg. La victime aurait été poignardée onze fois avant que son meurtrier ne s’acharne sur lui.
Michel Porzadny, militaire à Sarrebourg, allait avoir 26 ans. Il a été poignardé avec le manche cassé d’un club de golf, jeudi très tôt.
Le jeune homme, militaire de la 4e compagnie du 1 er Régiment d’infanterie de Sarrebourg, passe une soirée chez un ami, ancien militaire, rue du Lieutenant-Bildstein. Ils entendent un bruit de tôle froissée à l’extérieur et regardent par la fenêtre. Une camionnette a embouti le coupé japonais du jeune engagé. Il s’insurge.
Le conducteur de la camionnette, un homme de 35 ans connu des services de police, revient d’une soirée arrosée. Il s’échauffe et menace d’abîmer davantage le véhicule. Les deux amis descendent alors dans la rue. Une rixe s’ensuit.
Pour une voiture amochée
L’ancien militaire est blessé au niveau du bras. Michel reçoit onze coups avec le manche cassé d’un club de golf au thorax. Un témoin aurait vu la victime s’écrouler et l’agresseur en profiter pour lui asséner encore des coups de pied et de club de golf. L’amie de la victime aurait aussi tenté de s’interposer. La police est appelée vers 3 h pour une rixe sur la voie publique. Sur place, la patrouille tente de ranimer le jeune homme tombé à terre. Mais à 3 h 25, le décès est constaté.
Le meurtrier présumé est interpellé juste avant 4 h, dans son appartement situé un peu plus loin où il s’est réfugié. En plus de l’auteur présumé des coups mortels, l’ancien militaire ainsi qu’une femme de 33 ans et un homme de 68 ans, tous les deux Sarrebourgeois, ont été placés en garde à vue. Un délai a été nécessaire pour que leurs propos puissent être recevables. Tous trois ont été remis en liberté vendredi. Le meurtrier présumé a été déféré au parquet du tribunal de grande instance de Metz.
Lors de l’appel des couleurs au 1 er RI, vendredi matin, une minute de silence a été observée à la mémoire du jeune militaire. Les obsèques devraient avoir lieu la semaine prochaine.
Le Républicain lorrain
un militaire avec un amie qui se fait massacré par un individu ivre ,on se demande se que la grande armée français apprend a leurs soldats , a mourir peut être.
Je suis maman d’un militaire de Sarrebourg.
Je vomis ce genre de personnage, qui sous l’emprise d’alcool, ou autre, massacre un jeune homme.
même pas une once de lucidité pour se rendre compte de la gravité de son geste.
Tuer, gratuitement, un jeune de 26 ans. Je le méprise.
La mort à ce genre de déchet de la société. pourvu que son avocat ne lui trouve pas d’excuse, excuse du style jeunesse difficile et bla et bla…
Je le pense sincèrement.
j’espère de pas être censurée.
Une maman de militaire.
et pourquoi n’en a-t-on pas entendu parlé ? une nouvelle fois on s’occupe plus des libertés des assassins que des assassinés ?