Leïla Kaddour-Boudadi et Judith Chaine présenteront la 27e cérémonie des Victoires de la Musique Classique à l’Arsenal, ce vendredi 21 février. C’est la deuxième fois que la prestigieuse salle reçoit l’émission. De quoi rendre fière Metz, labellisée « ville créative » par l’Unesco.
Il semblerait que l’année culturelle 2020 de Metz soit prometteuse, dans la continuité de 2019. Après avoir été labellisée « ville créative », dans la catégorie musique , par l’Unesco et avoir accueilli l’émission Prodiges , Metz est à nouveau mise en valeur, par les caméras de France Télévisions.
Hacène Lekadir, adjoint au maire délégué à la culture, estime que « l’investissement consenti par la Ville commence à rapporter ses fruits, et la culture est devenue un formidable phare pour faire rayonner Metz et parler d’elle, tout en étant un atout pour les Messins avant tout ».
Une deuxième pour l’Arsenal
En 2009, Metz avait déjà accueilli les Victoires de la musique classique. Michèle Paradon, déléguée artistique de l’Arsenal, expliquait dans nos colonnes en mai 2019 que cette cérémonie avait généré cent cinquante nuitées pour la ville, avec les artistes invités et l’équipe de télévision. Elle retenait avant tout la visibilité nationale décrochée ce jour-là.
« On sait que les grands musiciens de la musique classique sont extrêmement heureux et épatés de jouer dans une salle de cette allure, avec cette acoustique », assure Hacène Lekadir. La Ville de Metz est donc fière de les accueillir une nouvelle fois.
« Cette deuxième cérémonie à l’Arsenal, en l’espace de onze ans, prouve une reconnaissance du milieu, ça démontre que nous avons un trésor à Metz », ajoute l’adjoint.
L’Orchestre National de Metz en avant
L’Orchestre national de Metz sera à nouveau sous les feux des projecteurs pour cette cérémonie des Victoires de la musique classique. Il avait déjà accompagné l’émission Prodiges récemment, dont la demi-finale a été diffusée le 26 décembre sur France 2. « Ce type d’émission permet de faire savoir que l’offre et la qualité musicale sont assez exceptionnelles à Metz », conclut Hacène Lekadir.
Le Républicain Lorrain