Le roi des Belges Philippe et son épouse la reine Mathilde se rendent à partir de ce lundi 14 octobre en visite d’État en France, à l’invitation du président Emmanuel Macron, pour célébrer la proximité culturelle franco-belge et la convergence de vues sur les dossiers européens.
Compétitivité, réindustrialisation, décarbonation de l’économie : le séjour de trois jours balaiera avec conférences et visites d’entreprises, notamment à Lille (nord), plusieurs grandes thématiques actuelles de l’UE, selon le palais royal belge.
« Des défis communs » auxquels sont confrontés les deux pays voisins, membres fondateurs de l’Union, et par ailleurs partenaires dans l’Otan. Ils entretiennent aussi une étroite coopération en matière de défense.
Philippe et Mathilde sont d’abord attendus à Paris pour deux jours : accueil militaire lundi matin à l’Arc de triomphe, suivi d’un déjeuner à Matignon avec le Premier ministre Michel Barnier. En soirée, un dîner d’État est organisé en leur honneur à l’Élysée autour d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Mardi, le couple royal sera reçu à l’Hôtel de ville par la maire de Paris Anne Hidalgo.
La dernière visite d’État en France d’un souverain belge remonte à 2003, quand Albert II et son épouse Paola, les parents de Philippe, avaient été accueillis par Jacques Chirac.
Premier investisseur étranger en Hauts-de-France
Avec ce séjour en France, Philippe, qui règne depuis 2013 en Belgique, achève un cycle de visites d’État à tous les pays voisins –après Allemagne, Pays-Bas et Luxembourg– qui sont autant d’investisseurs et partenaires commerciaux de premier plan.
La France et la Belgique partagent une frontière commune de plus de 600 km. Environ 39 000 Français se rendent chaque jour en Belgique pour travailler et 8 000 Belges font le trajet inverse, d’après les chiffres officiels communiqués côté belge.
Au niveau économique, la Belgique est le premier investisseur étranger dans la région des Hauts-de-France, l’étape du dernier jour de la visite d’État mercredi.
À Lille, Philippe et Mathilde visiteront Euratechnologies, un incubateur de start-ups inauguré il y a quinze ans sur le site d’une ancienne usine textile. La reconversion des anciens bassins industriels est un sujet commun à la Belgique et au nord de la France.
En Belgique, le gouvernement fédéral dirigé par le libéral flamand Alexander De Croo est démissionnaire depuis les élections législatives du 9 juin. Il gère les affaires courantes en attendant la formation d’une nouvelle coalition.
De Croo sera présent uniquement lundi au dîner d’État à l’Élysée, selon ses services.
Voilà. Bon. Quelle différence avec la riche Arabie saoudite? On a pas vu. Au prochain… le message est passé ou non?
Programme très protocolaire. Pas assez personnalisé. Perso, j invite des amis, ok je check le protocole jusque 22h. Après, les guidés s en vont, on lâche la cravatte dans un salon cosy où on retrouve des musiciens, des sommeliers, des artistes peintres, des sculpteurs, des philosophes. On s avine. On danse sur la note de l orchestre. On parle fort. On se lâche. On prédit l avenir comme Mme irma loin des entrepreneurs. On rentre à 3h du mat minimum. Et le lendemain on sourit avec la gueule de bois et le plus grand sérieux. La reine des belges n a plus dansé depuis longtemps et personne ne fait rien en République. Bref. L amitié ne doit pas être chiante .