La mort soudaine de l’éléphant Niko, l’un des plus anciens pensionnaires du zoo d’Amnéville, est un traumatisme pour les salariés du parc.
En ce jour de relâche, les allées sont désertes. Sous le ciel bas et dans le crachin automnal, Sébastien Grosse presse le pas. Tête baissée, il se dirige machinalement vers la plaine africaine, qu’il supervise depuis treize ans. Le soigneur la connaît comme personne. Mais depuis le 1er décembre, elle compte un pensionnaire de moins. Niko, ...Cet article est réservé aux abonnés.
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