La réalité augmentée et la 3D peuvent aider les entreprises à se faire connaître. La start-up ImSim propose à ses clients des solutions mettant la technologie au service de l’utilisateur.
Au 2e étage du bâtiment Neobuild, à Bettembourg, se trouve une start-up pas comme les autres. Elle s’appelle ImSim, acronyme de «Immersive Simulation». Créée par le groupe CDEC (conseil pour le développement économique de la construction), la société propose des solutions «efficaces, innovantes et accessibles à tous ceux qui mettent la technologie au service de l’utilisateur».
Matthieu Bracchetti, responsable du développement de la société, tient les rênes du projet. Pour l’instant, trois personnes composent l’équipe d’ImSim. Cependant, lorsqu’il s’agit de travailler sur un projet, ça peut aller «de 8 à 10 personnes», explique le responsable.
Mais au fait, quels sont les services proposés ? Il y a tout d’abord la réalité augmentée. L’application ImAr, utilisant cette technologie, permet d’explorer le bâtiment de Neobuild grâce à une tablette placée au dessus d’un tracker, «l’évolution du QR code» selon Matthieu Bracchetti : l’utilisateur découvre ainsi les entrailles du centre d’innovation, en naviguant d’une rubrique à l’autre.
L’animation 3D fait aussi partie des solutions proposées aux clients. L’une des réalisations les plus frappantes étant les bornes interactives avec le professeur Neostein. Une sorte d’Albert Einstein sous forme d’hologramme ou animé dans des vidéos. Les projections et les films ponctuent la visite du Neobuild. Une manière différente de découvrir les innovations du bâtiment. Autre corde à l’arc d’ImSim, la réalité augmentée. Cette fois-ci, elle prend la forme d’un jeu vidéo. «Imbuild» permet aux jeunes de découvrir les différents métiers de la construction, tout en s’amusant.
Aude Forestier
Article à lire en intégralité dans Le Quotidien papier de ce samedi
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