Enki Bilal signe son premier récit littéraire, Nu avec Picasso. Une nuit fantastique, seul dans le musée parisien consacré au fondateur du cubisme. Un texte étourdissant, déroutant et enivrant.
Ce serait la promesse d'une nuit fantastique. Une nuit au musée, seul(e). C'est une nuit, après Lydie Salvayre, Santiago Amigorena ou encore Kamel Daoud, offerte à Enki Bilal, né en 1951 à Belgrade (ex-Yougoslavie), arrivé en France à 10ans, naturalisé à 16 ans et récompensé par le Grand Prix du Festival de la BD d'Angoulême en 1987. C'est Nu avec Picasso, le court (à peine une centaine de pages) et premier récit littéraire du dessinateur, peintre et réalisateur de cinéma. C'est étourdissant, enveloppant, parfois même déroutant et enivrant... En ouverture, un conseil de l'auteur au lecteur : «Pour une lecture pleine de ce livre, se munir d'une reproduction de ...Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.