Du Raatelach (aujourd’hui Kulturfabrik) à la Schmëtt (à proximité du Ellergronn; sur le site de l’ancienne mine Kaazebierg de la société Cockerill), les exemples sont nombreux dans la Métropole du fer, où, jadis, des bénévoles luttaient. Malgré lui, l’ancien conseiller communal Ady Jung (CSV) a jeté avec son appellation dédaigneuse de «Raatelach» les bases d’une image de marque de la Kulturfabrik pour la postérité.
Au point que déjà l’Unesco, à l’approche de 2022 (la ville d’Esch a posé sa candidature pour le projet de capitale européenne de la Culture) se montre intéressée par la mise en valeur particulière des anciennes friches industrielles et minières.
L’ancien Bassin minier, avec le Titelberg, le Fonds de Gras, les anciens hauts-fourneaux de Belval, le musée des Mines de Rumelange [pour ne pas mentionner le monument national des Mineurs, le tombeau de Jean Schortgen et la Schungfabrik]. Après les mouvements citoyens revendicatifs et initiateurs, la politique (et les administrations publiques) se rendent compte du potentiel économique et touristique.
Espérons que pour les futures friches du CHEM, sa maison médicale et son service d’urgence à la dérive, il restera une autre affectation que celle d’hôpital militaire.
En tout cas, les Eaux et Forêts ont publié plusieurs plans et brochures des sentiers didactiques au Ellergronn, disponibles au City Tourist Office d’Esch et au site «An der Schmëtt» (Ellergronn).
À quelques pas du terminus de la ligne 12 des TICE (Esch-Gare – place Pierre-Ponath)
Jean Rhein