Quand on est adulé par toute l’Italie durant presque deux décennies tout en se trimballant une horrible natte tressée, c’est que l’on a forcément quelque chose que les autres n’ont pas. Oui, Roberto Baggio était un joueur à part, illuminant le jeu de toutes les équipes par lesquelles il est passé, bien que lui préférait rester loin de l’attention. Une humilité devenue touchante quand, 25 ans après son penalty loupé contre le Brésil en finale de Coupe du monde 1994, il avoue, encore, que la blessure n’a jamais vraiment cicatrisé. Le «Divin Codino» porte toujours sa croix. Pour le consoler, on lui a donc consacré un film.
C’est Letizia Lamartire qui s’y est collée, jeune réalisatrice récompensée au festival de Villerupt en 2018 avec son tout premier ...
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