Pour son premier livre, Ne m'oublie pas (éditions Le Lombard), la jeune Belge Alix Garin s'empare du douloureux sujet qu'est la maladie d'Alzheimer pour en faire une histoire touchante sur la fin de vie et l'importance de la transmission.
En empruntant, pour lancer son ouvrage, les mots d'Annie Ernaux (Les Années, 2008), romancière du réel, Alix Garin affiche ses intentions : parler un peu d'elle-même mais avec de la distance. Confier un fragment de souvenirs, passé au prisme de la fiction. Comme elle le confirme en vidéo sur le site du Lombard, l'histoire de Marie-Louise lui a en effet été « inspirée » par sa propre grand-mère, atteinte également de la maladie d'Alzheimer. « Voir son déclin cognitif m'a ...Cet article est réservé aux abonnés.
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