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[Critique BD] Fabcaro se marre du polar


Après le western, le roman-photo ou le carnet de voyage, Fabcaro dynamite les codes du polar à l’ancienne. Un détournement qui, pour l’auteur, est surtout un prétexte pour s’amuser et se moquer de lui-même. Réjouissant, comme d’habitude.

Fabrice Caro est un auteur qui compte. De plus en plus. Ce qui n’a pas toujours été le cas depuis ses débuts, anonymes, il y a plus de quinze ans. C’est qu’il semble désormais avoir trouvé le rythme et son style, entraîné par une capacité, visiblement inépuisable, à sortir des âneries à la pelle et à détourner les situations du quotidien les plus banales. Ses références? Le grand-guignolesque à la Mel Brooks, la facétie des Monty Python et l’absurdité des Zucker-Abrahams-Zucker (Top secret!, Y a-t-il un pilote dans l’avion?…).

Aujourd’hui, beaucoup en effet succombent à son humour décalé et son imagination sans limite. C’est dire, même une maison aussi ...


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