Il y a des films qui marquent les esprits à jamais. C'est le cas de Freaks (1932), devenu culte avec le temps, remis en lumière par le duo Colin-Jolivet à travers un polar, noir comme l'envers du décor hollywoodien.
L'Histoire du cinéma, depuis plus d'un siècle, regorge de bizarreries, d'objets trop audacieux pour leur époque, de réalisateurs à la marge, de tournages chaotiques, d'acteurs incontrôlables... Freaks (1932) pourrait se vanter de cumuler tous ces attributs, ovni surréaliste d'abord boudé, puis perdu durant la guerre avant d'être retrouvé, réhabilité par la contre-culture des «sixties», et aujourd'hui érigé en œuvre culte.
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.