Le Quotidien Indépendant Luxembourgeois
Mercredi, le Lëtzebuerger Filmpräis a révélé les noms des nominés pour l’édition 2025. Les lauréats seront connus le 22 novembre.
Depuis 2012, le Lëtzebuerger Filmpräis, organisé conjointement par la Filmakademie et le Film Fund, célèbre l’effervescence et la créativité du paysage audiovisuel et cinématographique luxembourgeois. Ce mercredi, ils ont dévoilé les noms des nominés pour l’édition 2025, dont la cérémonie se tiendra le 22 novembre prochain au Grand Théâtre. Pour cette onzième édition, 67 finalistes sont en lice dans 13 catégories. Voici les principaux.
Meilleur court-métrage luxembourgeois de fiction, animation ou documentaire
– A Walk into the Afterlife (Jiyun Jeong)
– Huss (Laurent Prim)
– Linda, Linda! (Kiyan Agadjani)
– Mia Mio (Roxanne Peguet)
Meilleur long métrage luxembourgeois de fiction, animation ou documentaire
– Hors d’haleine (Éric Lamhène)
– Laïf a Séil (Loïc Tanson)
– Marianengraben (Eileen Byrne)
– Poison (Désirée Nosbusch)
– Spiked (Caroline Origer)
Meilleur long métrage de fiction ou documentaire en coproduction
– All We Imagine as Light (Payal Kapadia)
– Fanon (Jean-Claude Barny)
– Reflet dans un diamant mort (Hélène Cattet, Bruno Forzani)
– Ingeborg Bachmann (Margarethe von Trotta)
– La Cache (Lionel Baier)
Meilleur long métrage d’animation en coproduction
– Into the Wonderwoods (Vincent Paronnaud, Alexis Ducord)
– Fox and Hare Save the Forest (Mascha Halberstad)
– Kensuke’s Kingdom (Neil Boyle, Kirk Hendry)
– Stitch Head (Steve Hudson, Toby Genkel)
– Slocum et moi (Jean-François Laguionie)
Meilleure série ou production transmédia de fiction ou documentaire
– Dangerous Truth (Barbara Eder)
– Draw for Change! (Julie Schroell, Eileen Byrne, Heiko Lange)
– Finisterra (Guilherme Branquinho, Leone Niel)
– Marginal (Loïc Tanson)
– Move saison 5 (Alisar Hasan, Alaa Amer, Ana Moisenko…)
Meilleure série ou production transmédia d’animation
– Deep in the Bowl (Julien Renault, Ghayth Chegaar)
– Dino Mite (Sandra Schiessl, Cherifa Bakhti)
– La Vie de Château (Clémence Madeleine-Perdrillat, Nathaniel H’limi)
– Les Quiquoi (Eugène Boitsov)
– Mères anonymes (Hélène Friren)
Meilleure interprétation féminine
– Alessia Raschella (Hors d’haleine)
– Céline Camara (Reflet dans un diamant mort)
– Esperanza Martin Gonzalez Quevedo (Hors d’haleine)
– Sophie Mousel (Laïf a Séil)
– Vicky Krieps (Ingeborg Bachmann)
Meilleure interprétation masculine
– Ethan Chimienti (La Cache)
– Jules Werner (Laïf a Séil)
– Luc Schiltz (Hors d’haleine)
– Marc Limpach (Ingeborg Bachmann)
– Timo Wagner (Laïf a Séil)
Meilleure œuvre immersive
– Ceci est mon cœur (a_BAHN)
– Oto’s Planet (Skill Lab)
– The Dollhouse (Wild Fang Films)
– Champ de bataille (Digital Voodooh)
– Ito Meikyu (Les Films Fauves)
– Mamie Lou (Skill Lab)
