Accueil | Culture | Aïna offre «le meilleur» de Murat Öztürk

Aïna offre «le meilleur» de Murat Öztürk


Quand Murat Öztürk ne jongle pas avec les projets, il se pose et souffle, en musique. C’est ce que le pianiste propose avec le délicat Aïna, son dernier album jazz enregistré en trio, qu’il a présenté au Luxembourg fin janvier.

Aïna est son cinquième album, mais Murat Öztürk avoue être «venu au jazz complètement par hasard». «C’est une musique qui peut être difficile d’accès si on n’y est pas initié tôt», reconnaît-il. Lui l’a été tard, «vers 23-24 ans», alors qu’il jouait de la guitare dans des groupes de rock et de blues, par l’intermédiaire d’un ami saxophoniste : «Derrière les saxophonistes qu’il m’a fait écouter, il y avait des pianistes incroyables : Bill Evans, Oscar Peterson… Je suis tombé amoureux de cette esthétique, de la musique et du piano en particulier.»

Le pianiste, qui est né et vit en Lorraine, a depuis largement fait preuve de son talent, avec les albums Crossing My Bridge (2009) et Dün (2014), mais aussi et surtout sur scène, en particulier au Luxembourg, sa «terre d’accueil», où il joue régulièrement.

Son dernier album, Aïna, sorti en décembre, est un voyage intime où s’expriment pleinement la délicatesse de son jeu et la douceur de ses mélodies. Avec Franck Agulhon (batterie) et Thomas Bramerie (contrebasse), Murat Öztürk se livre à une ...


Cet article est réservé aux abonnés.

Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.