Relever le défi de la Premier League : c’est «la seule et unique raison» du départ de Pep Guardiola du Bayern Munich en fin de saison, a déclaré l’entraîneur catalan mardi, en assurant qu’il n’avait «pas encore de nouveau club».
«Je veux entrainer en Angleterre, en Premier League. Je suis jeune et j’ai besoin d’un nouveau défi, c’est la seule et unique raison», a assuré Guardiola lors de sa première conférence de presse depuis l’annonce en décembre de son départ et son remplacement par Carlo Ancelotti.
Pour Guardiola, qui fêtera ses 45 ans le 18 janvier, «c’est le bon moment pour aller en Angleterre». Conscient que «c’est un risque pour moi», il a fait remarquer que le risque était également énorme en succédant à Jupp Heynckes et son triplé historique championnat-Coupe-C1 en 2013, au Bayern.
«Trois ans, c’est suffisant. J’aimerais bien rester 30 ans dans un même club mais ce n’est pas mon genre», a dit l’homme qui avait quitté le Barça après quatre années glorieuses pour une pause d’un an avant de venir en Bavière.
Le Catalan dit avoir besoin de «nouvelles expériences, de nouveaux stades, de nouvelles villes et de nouvelles personnes à connaitre».
Sa future destination, il assure ne pas la connaitre encore. Les médias évoquent depuis des semaines la piste Manchester City, Manuel Pellegrini, en contrat avec City jusqu’en 2017, a dit lui-même que «Guardiola entrainera un jour» le club mancunien.
«J’ai plusieurs propositions mais je n’ai pas encore décidé. Quand j’aurai décidé je le ferai savoir. Je ne peux pas en dire plus pour le moment», a insisté le Catalan. Dans son style très lisse, Guardiola a loué le Bayern et ses dirigeants, «qui voulaient me retenir», auxquels il espère offrir un 4e titre national de rang tout en étant en course en Coupe d’Allemagne et en Ligue des champions.
«J’espère que Rummenigge (le patron du Bayern) et le staff comprennent mon choix, je serais désolé s’ils étaient déçus de mon choix», a-t-il dit, précisant qu’il parlera du sujet «pour la première fois» avec ses joueurs lors du stage hivernal au Qatar qui débute mercredi.
Il a insisté sur sa volonté «de tout faire jusqu’au bout» surtout pour ses joueurs: «Nous allons encore essayer de tout gagner», a-t-il asséné. Quant à l’avenir du Bayern après son départ. «Rummenigge l’a dit parfaitement: les entraineurs viennent et s’en vont. Le plus important pour le club est la stabilité».
Et l’Espagnol est persuadé que cette stabilité sera assurée en Bavière sous la houlette de Carlo Ancelotti, triple vainqueur de la Ligue des champions, à partir de la saison prochaine. «Carlo est le choix parfait pour cette équipe. Il a gagné partout. C’est un homme et un entraîneur intelligent. Je pense que tout ira bien pour Carlo et le Bayern. Je leur souhaite bonne chance», a lancé le Catalan.
AFP/M.R.
si vrai le désire est le rêve de chaqu’un de projeter son avenir, alors, le départ de Pep Guardiola du Bayern Munich en fin de saison, c’est son choix absolu, mais, ce que je connais a pour des équipes ‘’allemands’’, eux il ne font pas a portée souci de partir n’importe quelle entraineur et quelque soit sa position ou ses glorieuse victoires, avant ou après, a ma connaissance que le départ l’entraîneur catalan, avec la machine comme on les appelles, les Bavière, eux et le reste des citoyens allemande, si pas pareille, si toutes a fait le contraire a d’autres……est ce que sûre certaine que Monsieur Pep Guardiola, il peut pas maintenir plus …bonne courage a son chemins et l’objectifs sportives et bonne courage a l’équipe Bayern Munich et le champion ‘’Bundesliga’’…merci bien.