Le procès était fixé sur trois jours, un délai jugé insuffisant pour entendre les dix-huit témoins convoqués.
L’amorce de procès aura duré 30 minutes. La 12e chambre criminelle du tribunal d’arrondissement de Luxembourg a décidé, mercredi après-midi, de remettre l’affaire des violences policières au commissariat Gare de Luxembourg au 28 avril. Le procès était fixé sur trois jours, un délai jugé insuffisant pour entendre les dix-huit témoins convoqués.
Quatre policiers sont accusés d’avoir battu un homme placé en cellule de dégrisement en mai 2023. Un supérieur aurait demandé à une jeune recrue de maquiller les faits. Le jeune policier avait fini par les dénoncer, levant ainsi le voile sur les pratiques peu orthodoxes ayant cours au sein du commissariat depuis fermé.