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Ursula von der Leyen : «Schengen symbolise l’unité de l’Europe»


Ursula von der Leyen a été accueillie, vendredi, par le Premier ministre, Luc Frieden. (Photo : fabrizio pizzolante)

La campagne électorale pour décrocher un deuxième mandat de présidente de la Commission européenne a mené Ursula von der Leyen à Schengen.

C’est sur invitation du Premier ministre luxembourgeois, Luc Frieden, que la tête de liste du Parti populaire européen (PPE) a fait étape vendredi au Grand-Duché.

«Nous voulons une Europe forte, nous voulons une Europe unie, et Schengen symbolise la coopération sans frontières et donc l’unité et la cohésion de l’Europe», clame Ursula von der Leyen lors d’un bref point presse. «C’est ici que se trouve le cœur de l’Europe», renchérit-elle.

Un échange avec des jeunes

Dans l’après-midi, la présidente sortante de la Commission a pu échanger avec des jeunes de la Grande Région, membres des partis conservateurs avoisinants. «Je me suis beaucoup réjouie de la discussion que nous avons pu avoir avec les jeunes, qui sont ceux dont l’avenir sera déterminé par les prochaines élections», souligne l’Allemande.

Ursula von der Leyen a aussi évoqué les enjeux des élections européennes à venir : «Aujourd’hui, c’est une journée orageuse à l’extérieur, mais le monde dans lequel nous évoluons est également orageux. Et nous savons que l’enjeu de ces élections est important. Il s’agit de consolider notre démocratie, il s’agit de préserver notre prospérité et il s’agit de renforcer nos sécurités.»

Plein soutien du CSV

«Cette visite était si importante aujourd’hui (lire vendredi), parce qu’on sent qu’Ursula von der Leyen, même si elle vient d’un grand État, sait aussi que l’Europe, c’est la diversité, les petits et les grands États qui vont dans le même sens. Et c’est pourquoi le CSV luxembourgeois soutient à 200 % sa candidature», a tenu à souligner le Premier ministre, Luc Frieden.

Un commentaire

  1. Une majorité des citoyens des pays memebres de l’UE veulent que cette femme incompétente parte le plus vite possible.
    Mais, depuis un certain temps, les « zélites » ne tiennent aucun compte de ce que veulent les gens.