L’information n’est pas encore officielle, mais a été dévoilée mardi de cette semaine ; Julien Clerc prendra part à la prochaine édition du télé-crochet de TF1, The Voice, pour la huitième saison, prévue en début d’année prochaine.
Une information que le chanteur a confirmée jeudi soir à la presse grand-ducale après son concert au Théâtre d’Esch-sur-Alzette dans le cadre de la «Warm up edition» des Francofolies du Luxembourg. Il explique : «Oui. Ça m’amuse de faire ça. Je pense avoir une certaine légitimité pour être dans la transmission. C’est, certes, une émission de télévision, mais une émission musicale. L’orchestre est bon, il y a des gens de tous horizons qui viennent chanter, qui regardent, etc. Les radio-crochets existent depuis très longtemps.»
L’envie d’orienter la jeune génération
«J’aime l’idée de voir de jeunes gens arriver, voir ce qu’ils choisissent comme musique, de temps en temps, leur dire que telle chanson qu’ils ont choisi, je sais d’où elle vient, que je sais que tel artiste a été lui-même influencé par tel autre artiste, etc. Ça m’arrive d’ailleurs déjà quand je travaille avec des gens plus jeunes que moi, ce qui m’arrive de plus en plus souvent d’ailleurs (il rit). C’est ce rapport-là qui va m’intéresser avec des gens plus jeunes. Je pense que je peux faire ça. Et puis, quand on fait notre métier, on cherche évidemment à être aimé. Et même si j’existe depuis 50 ans, il y a des gens qui ne me connaissent pas encore. Ça me fait plaisir de me faire connaitre par des gens qui ne me connaissent pas. J’ai souhaité toute ma vie ne pas être dans une zone de sécurité, d’évoluer avec mon temps. Cette émission fait partie des temps d’aujourd’hui et elle est plutôt bien. Et moi, je reste dans ma compétence, puisqu’on est dans la musique». Julien Clerc devrait donc rejoindre l’aventure, en même temps qu’un autre nouveau, Soprano, pour prendre part au jury aux-côtés de la revenante, Jenifer (déjà présente de la première à la quatrième saison) et Mika (présent, lui, depuis la troisième saison de manière ininterrompue).
Pablo Chimienti