La Ville de Luxembourg et le ministère des Sports avaient convié à une visite du nouveau stade national, mercredi matin. Si les travaux avancent bien, le premier match ne devrait pas se jouer avant septembre 2020.
Comparé au vétuste Josy-Barthel, le nouveau stade national, en cours de construction près de la croix de Gasperich, est impressionnant. Porté par une structure métallique blanche, il pourra accueillir 9 385 spectateurs. L’enceinte sera à la fois ouverte au football et au rugby.
La bourgmestre Lydie Polfer et le ministre Dan Kersch étaient fiers de faire le point sur ce stade, attendu depuis plus de vingt ans. Le coût s’élève à quelque 60 millions d’euros, partagés entre Ville de Luxembourg et État.
Pas de nom commercial
Entamés début 2017, les travaux de gros œuvre seront terminés pour l’été. Le stade devrait être livré en mai 2020. En attendant la fin des aménagements extérieurs, y compris accès routiers et parkings, ainsi que les préparatifs d’ordre technique et pratique, le premier match devrait pouvoir être joué en septembre 2020. Le retard est de presque six mois sur le plan initial.
Quant au nom du nouveau stade national, Lydie Polfer et Dan Kersch ont annoncé « tomber rapidement d’accord ». Un nom commercial est d’ores et déjà exclu.
David Marques
Notre reportage complet sur le nouveau stade national, dans Le Quotidien papier du 4 avril