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Micarelli, c’est fait : «J’y vais avec plein de confiance»


Domenico Micarelli (2ème à g.), a officialisé son rattachement à Rodange (photo: le Quotidien)

Rodange et Domenico Micarelli se sont liés officiellement mardi.

En soirée, l’ancien joueur de la Chiers, qui dépannait en tant qu’adjoint à Mondercange jusqu’à début novembre, a été officialisé par Semin Civovic, le président du FC Rodange 91.

«Ça vient juste de se faire», claironnait ce dernier. Du coup, voici les premiers mots du successeur de Séraphin Ribeiro à la tête du promu…

Cette arrivée à Rodange, elle vous fait quoi?

Domenico Micarelli : J’ai été surpris mais content. Je reviens aux sources. C’est une fierté.

Votre président disait qu’il cherchait à relancer l’équipe. À votre avis, Séraphin Ribeiro aurait-il tout aussi bien pu faire l’affaire, vu le niveau de cette équipe en début de saison?

Ce groupe a une certaine qualité. Il a connu une très mauvaise phase. Mais comme tous les clubs et tous les entraîneurs en connaissent à un moment. C’est la roulette… Moi, je les avais vus en forme, en tout début de saison. Je félicite Séraphin Ribeiro qui a formé une très jolie équipe. Je lui tire un grand coup de chapeau car avec de si petits moyens…

On ne vous jusqu’à présent vu qu’une année, et en tant qu’adjoint, au niveau de la DN. Vous allez découvrir. Stressé?

Ça fait longtemps que je n’ai plus regoûté à la DN, effectivement, mais cela me motive encore plus. J’ai été coach de très nombreuses années quand même. Je sais comment ça marche. J’y vais avec plein de confiance. On va travailler. Il faudra bien aussi un peu de chance. Des fois ça marche, des fois pas. Mais je vais tout faire pour que ça marche.

Qu’espérez-vous pouvoir mettre en place?

On reprend le 8 janvier. On a le temps pour faire des modifications. On doit voir avec les idées qu’on a, les éventuels renforts qu’on a… Pour l’instant, personne ne quitte l’équipe. Après, Stefan Marinelli, mon adjoint, ainsi que Cyrille Mathis, mon coach des gardiens, et moi, on ne va pas tout réinventer.

Que vous a dit Angelo Fiorucci, que vous épauliez en ce début de saison à Mondercange le temps que Claude Heinz soit libéré de ses obligations professionnelles?

Content pour moi. Il m’a dit qu’il fallait saisir cette occasion. Cela va être une expérience positive avec des gens positifs.

Allez-vous conserver l’ADN offensif de cette équipe?

Offensivement, c’est costaud et expérimenté. Alors on va voir. Mais je peux m’adapter. De toute façon, dans le foot, on ne peut rien planifier…

Julien Mollereau