L’ancien petit ami d’Ana Lopes, Marco da Silva a accordé mardi soir une interview au site Bomdia.lu afin de s’expliquer sur les accusations qui pèsent sur lui concernant le meurtre de la jeune femme.
Dans l’interview publiée dans la soirée de mardi, Marco da Silva explique qu’il est « fatigué » d’être injustement accusé par les différents médias d’avoir commis ce crime alors qu’une enquête est en cours et qu’il nie absolument toute implication dans cette affaire. L’ancien petit ami d’Ana Lopes justifie cette prise de parole afin de ne plus être désigné comme un meurtrier sur les réseaux sociaux. « Il est très difficile d’entendre les gens dirent que je suis suspect » a-t-il déclaré.
Dans la vidéo il dit notamment avoir tout fait pour coopérer et dire la vérité à la police tout en souhaitant que la lumière soit faite le plus rapidement possible sur cette affaire.
Une relation compliquée
Bien qu’il nie absolument tout lien avec le meurtre de son ex-petite amie, Marco da Silva évoque la relation compliquée qu’il a pu avoir avec la jeune femme et notamment les difficultés qu’il a rencontré pour obtenir la paternité de l’enfant qu’ils ont eu ensemble.
Malgré les difficultés rencontrées durant leur relation, Marco da Silva explique qu’il était « fou amoureux d’elle » et qu’il a tout fait pour la rendre heureuse. Bien qu’il évoque une relation houleuse, il explique qu’il n’aurait jamais pu commettre ce crime.
Marco da Silva a d’ailleurs insisté sur le mode de vie de son ex-petite amie qu’il décrit comme étant capable de tout. Dans son interview il parle de la possibilité d’une implication de la jeune femme dans le trafic de drogues. Pour justifier ces accusations, il évoque notamment le jour où la mère d’Ana Lopes aurait retrouvé des drogues dans les affaires de la jeune femme. De par ces propos, Marco da Silva laisse donc sous entendre l’existence d’un lien entre ce qui est arrivé à la jeune femme et son mode de vie.
Enfin, le jour de la disparition d’Ana Lopes, le jeune homme déclare avoir vu une amie dans la matinée avant de passer le reste de la journée chez lui.
Le Quotidien