On a à peine eu le temps de se frotter les mains lors de la toute première édition, l’an passé, que la Nations League nouvelle mouture rebat déjà les cartes.
Depuis mardi, le Luxembourg sait ainsi qu’il va monter en gamme, non pas grâce à ses réussites sportives (encore que) mais grâce à une refondation des groupes et du passage, notamment de la Ligue A à 16 équipes. La B et la C suivront le mouvement tandis que la D, celle dans laquelle apparaissait le Grand-Duché en tant que « grosse » nation parmi les petites, sera réduite à sa portion congrue : sept pays.
Voilà donc le Luxembourg qui assistera au tirage du mois de mars 2020, à Amsterdam, dans la peau de la 13e moins bonne nation (selon les rankings à l’issue de la précédente édition) du groupe C, avec l’impossibilité de tomber sur un nain du genre de San Marin. Mais en même temps, vu ce que Luc Holtz et ses hommes montrent depuis quelques mois, en venir à regretter des rencontres « faciles » a-t-il encore un sens ?
À noter qu’à l’issue de cette Nations League nouvelle mouture, deux promotions et deux relégations sanctionneront la compétition, qui se déroulera toujours sous forme de groupes de 4, avec demi-finales et finales pour les promotions et relégations.
J.M.
La Ligue C et les adversaires potentiels :
Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Chypre, Estonie, Géorgie, Grèce, Kazakhstan, Kosovo, Lituanie, Moldavie, Monténégro, Macédoine du nord, Slovénie