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Le Siren’s Call s’impose comme le festival «open air» du Luxembourg


En deux éditions, le Siren's Call a trouvé son écrin et son public. (archives Tania Feller)

Avec Metronomy, Cat Power, Band of Horses, IDLES et Flavien Berger en tête d’affiche, le Siren’s Call (29 juin) affirme ses ambitions de devenir le rendez-vous estival de la capitale.

Enterré le Rock-A-Field. A l’agonie, le Food For Your Senses. Ces derniers mois au Grand-Duché, l’on a pu assister à une hécatombe parmi les festivals « open air ».

Aujourd’hui, le Siren’s Call joue les premiers rôles après seulement deux éditions : celui d’un rendez-vous jeune, urbain, branché et pluridisciplinaire, au cœur du quartier historique du Grund.

Porté par l’Atelier et Neimënster, la scène reste celle des artistes locaux comme des stars «de l’indé» comme on dit, dont certains seront, le même week-end, du côté de Glastonbury, à l’instar de Cat Power.

Pour cette troisième édition, le public retrouvera aussi ce qui a fait le succès des deux premières, à savoir lectures, performances, installations, ateliers, ainsi qu’une exposition et même un marché des créateurs… Et «quelques surprises à venir», promettent les organisateurs.

A lire également, dans Le Quotidien papier du 30 janvier, notre entretien avec Michel Welter (l’Atelier) qui explique pourquoi le Siren’s Call a trouvé sa philosophie et son public.

L'affiche 2019 - cliquer pour agrandir

Le programme de l’édition 2019 – cliquer pour agrandir