Selon des informations divulguées dans la presse, Fiat Chrysler est accusé par l’agence environnementale américaine (EPA) d’avoir truqué 104 000 moteurs diesel sur ses véhicules vendus aux États-Unis.
Le titre de Fiat Chrysler Automobiles a déjà perdu plus de 15% jeudi à la Bourse de Milan, à la suite de la publication d’informations de presse sur des accusations de la présence de logiciels tricheurs sur ses véhicules diesel aux États-Unis.
Selon plusieurs médias, l’agence environnementale américaine (EPA) reproche à Fiat Chrysler d’avoir utilisé sur quelque 104 000 véhicules un logiciel destiné à cacher qu’ils dépassaient les seuils d’émissions de gaz nocifs.
Un nouveau dieselgate après celui de Volskwagen, qui a admis mercredi sa culpabilité dans un scandale similaire mais aux proportions plus larges (11 millions de véhicules dans le monde, dont 600 000 aux États-Unis), qui devrait lui coûter plus de 21 milliards de dollars sur les seuls États-Unis.
Le Quotidien/AFP