L’Agence luxembourgeoise antidopage a rendu public, ce mardi, ses chiffres de 2022. Résultat ? Aucun athlète licencié au Luxembourg n’a été contrôlé positif pendant l’année passée.
Ce mardi, l’Agence luxembourgeoise antidopage (ALAD) publie le bilan de ses contrôles en 2022. Durant l’année écoulée, 230 contrôles urinaires ont été effectués par les agents de contrôle de l’ALAD. Sur l’ensemble de ces analyses, toutes se sont révélées négatives, et donc aucun athlète licencié au Luxembourg n’a été contrôlé positif.
Dans le détail, 203 contrôles urinaires ont été réalisés au Grand-Duché et 27 ont été faits à l’étranger sur des sportifs du groupe cible luxembourgeois. Parmi ces 230 tests, 125 ont eu lieu lors de compétitions dont 78 à la demande des fédérations.
Il arrive à l’ALAD de procéder à des contrôles inopinés, hors compétition. En 2022, 105 de ces tests « surprises » ont été effectués sur des sportifs d’élite luxembourgeois, dont 27 réalisés à l’étranger.Parmi ces contrôles, 67 comportaient des prélèvements à la fois urinaires et sanguins. Au total, 18 contrôles ont été effectués sur 5 athlètes dans le cadre du passeport hématologique.
S’ajoutent aux 230 contrôles effectués, 11 contrôles qui se sont soldés par un «no-show». On a enregistré par ailleurs 3 «filing failure» c’est-à-dire l’athlète a manqué à son obligation de fournir ses données de localisation dans le système ADAMS. À noter qu’un sportif est seulement sanctionné s’il totalise 3 «no-show» ou «filing failure» endéans 12 mois, ce qui n’a pas été le cas en 2022. Pour 54 des contrôles en compétition, la gestion des résultats est revenue à la fédération internationale puisque la compétition figurait sur leur calendrier sportif.