Pour son premier match en tant que coach avec le Racing, Sébastien Grandjean a déjà identifié des axes de travail pour ramener cette équipe dans la première moitié de tableau.
Est-ce dur, de s’asseoir sur un banc qui appartenait, auparavant, à un coach très apprécié de ses joueurs ?
Sébastien Grandjean : Je ne suis pas un romantique. Pas là-dedans. J’ai un grand respect pour Yannick (Kakoko), on s’entend super bien, mais j’ai trop de bouteille et je suis trop vieux pour le sentimentalisme.
Vous n’avez appelé Yannick Kakoko, donc ?
Non parce que ce sont des moments pas simples. C’est une question de respect.
Il y a eu une forme d’imbroglio dans votre arrivée : vous n’étiez pas censé vous asseoir sur le banc immédiatement, là, contre Käerjeng. Mais vous y étiez.
Le ...
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