Chris Philipps est revenu pour la première fois, dimanche, sur les trois dernières semaines «difficiles» qu’il a vécues du côté du FC Metz.
«Parce que le lendemain, je ne savais pas si je serais encore là», a-t-il reconnu, alors que l’idée d’un prêt est restée brûlante jusqu’aux derniers instants du mercato. «C’est surtout mentalement que c’était dur, mais j’ai fait le choix de rester pour plein de raisons et aussi parce qu’en tant que joueur, on ne peut pas non plus accepter n’importe quoi.» Comprendre que les propositions qu’il a pu recevoir ne lui ont pas semblé satisfaisantes.
Il va donc se battre et guetter les chances de rentrer de nouveau dans les plans du coach messin, Philippe Hinschberger d’ici à l’hiver, avant de réévaluer sa situation. En attendant, la sélection reste un petit bol d’air frais. À relativiser : «Je n’étais pas trop satisfait de ma prestation en Lettonie. J’ai eu beaucoup de déchets techniques, alors que normalement, c’est mon point fort.»
Le Quotidien