L’association Ad Pacem, forte d’une centaine de membres, et même si ce n’est pas son but principal, aide comme elle peut les réfugiés ukrainiens aux Trois-Frontières. Comme cette jeune femme devenue médecin, mais qui vient de craquer psychologiquement. Explications.
Près de quatre ans après le déclenchement de la guerre par la Russie en Ukraine, l’association Ad Pacem, basée à Crusnes, mais rayonnant (notamment) sur tout le Pays-Haut et au Luxembourg, continue à apporter son soutien aux victimes, tout en promouvant la paix en Europe.
Pour ce faire, elle édite et vend par ...
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