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Le son des cloches disparues de Trèves et des pierres magiques du Japon


L’installation électroacoustique de Ludovic Landolt joue sur l’ambivalence «du son et du silence», «du physique et de l’immatériel», de «la poésie et du scientifique», argue la commissaire d’exposition Elia Biezunski. 

Il est lauréat du Prix d’art contemporain Robert-Schuman 2025. L’artiste franco-suisse Ludovic Landolt, d’origine messine, a séduit le jury pour ses installations électroacoustiques d’où surgissent des récits captivants : ceux des cloches de Trèves détruites en 1944 et des pierres chantantes du Japon.

Le mot sonne mieux en allemand qu’en français – Domglockenstrott, littéralement les rebuts des cloches de la cathédrale. Pour entendre Helena, Maternus et Hosanna, il faut d’abord écouter le silence et les bruits qui le composent. Voilà qu’elles sonnent, reconnaissables à leurs fréquences.

Les trois cloches ...


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