Le FIRST Global Robotics Challenge s’est déroulé du 26 octobre au 1er novembre au Panama. L’association make it a permis à une équipe nationale de représenter le Grand-Duché lors de la compétition.
Carolina Ruivo Caçador et Ishak Boukellal du lycée Aline Mayrisch, Louis Verticelli du lycée français Vauban et Sergio Martins Soares du Lycée technique d’Ettelbruck se sont envolés pour le Panama du 26 octobre au 1er novembre pour le FIRST Global Robotics Challenge. Accompagnés de leurs coachs, Chris Dax, également du lycée Vauban, et Marc Teusch, de l’ASBL make it, ils ont représenté les couleurs du Grand-Duché aux Jeux olympiques de la robotique.
L’équipe est arrivée à la 45e place sur 193 nations, ce qui représente le meilleur résultat jamais obtenu dans cette compétition. Durant la semaine, chaque équipe a reçu un kit robotique devant permettre aux jeunes de développer une solution à un problème donné. Cette année, la thématique du challenge tournait autour de l’équilibre écologique et l’investissement dans trois composants essentiels : la terre, l’air et l’eau.
Accompagner les jeunes scientifiques
Depuis sa création en 2018, l’association make it s’est dédiée au support des jeunes talents scientifiques. Elle a ainsi pu encadrer plusieurs centaines d’élèves pour les préparer à de nombreuses compétitions robotiques dans le monde entier, comme le challenge FIRST Global. Au Luxembourg, l’association a organisé une compétition nationale afin de sélectionner les jeunes les plus motivés. Ce tournoi, baptisé Luxembourg Youth Robotics Challenge (LYRC), a rassemblé les technophiles les plus enthousiastes.
«Cette année, make it a pu mettre en place les infrastructures nécessaires pour encourager les jeunes à participer à ce challenge. Nous voulions créer une compétition unique au Grand-Duché, dédiée aux jeunes talents jusqu’à 18 ans», explique Marc Teusch, le délégué robotique de l’association. «Dans le cadre du LYRC, les équipes ont dû affronter un premier challenge d’encodage complexe, représentant l’état actuel des sciences robotiques du marché», complète Eric Krier, le président de l’association.