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[Tennis de table] Hostert-Folschette puissance 4


Une der heureuse avec le DTHF pour Maël Van Dessel.

Larges vainqueurs de la finale aller contre Berbourg, les Hostertois ont réitéré leur performance, dimanche, décrochant ainsi un quatrième titre de champion de suite.

‌La défaite le 27 avril dernier dans sa salle face à Hostert-Folschette (2-6) ne condamnait pas Berbourg. Mais s’il ne voulait pas être le dindon de la farce, il lui fallait faire beaucoup mieux pour imaginer un golden match dans cette finale d’Audi League. Dans le cas contraire, le DTHF confirmerait sa suprématie actuelle sur le tennis de table luxembourgeois. C’est le deuxième cas de figure qui s’est produit, hier, dans la bouillante salle du désormais quadruple champion du Luxembourg.

Premiers en piste, Gleb Shamruk et Maël Van Dessel se montraient d’entrée épatants. Opposé à David Henkens, le grand Biélorusse s’adjugeait facilement la partie en quatre sets (3-1). Dans la foulée, Léandro Fuentes ne résistait pas bien longtemps contre le numéro 1 local, Maël Van Dessel, qui s’imposait en toute tranquillité (3-0). Une victoire nette et sans bavure, comme ne le fut pas celle de Zoltan Fejer-Konnerth devant Tom Scholtes, beaucoup plus indécise et que le joueur allemand a remporté de justesse (3-2).

La marche était trop haute

La défaite de Kévin Kubica, surpris par Loris Stéphany (1-3), n’a en rien perturbé la marche en avant des Hostertois. Gleb Shamruk et Maël Van Dessel faisaient ensuite leur retour pour tenter d’amener les deux derniers points à leur équipe. Tous les deux assumaient leur rang et concluaient la rencontre (5-1). La marche était un peu trop haute pour Berbourg qui n’a jamais vraiment contesté la supériorité de son adversaire.  

«Je crois qu’il n’y a rien à redire sur notre victoire. On a été beaucoup trop forts sur les deux matches», glissait Kévin Kubica. De son côté, Maël Van Dessel ne boudait pas son plaisir avant de rejoindre le monde professionnel du ping : «Pour moi, terminer comme ça, c’est merveilleux. L’équipe a été formidable et j’ai essayé de lui apporter le meilleur de moi-même malgré le manque d’entraînement. Je n’oublierais jamais cette équipe de Hostert-Folschette avec laquelle j’ai gagné des titres et dans laquelle je me sentais vraiment bien.»

De notre correspondant Gilles Tarral

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