Après la cyberattaque qui a touché l’intercommunale de soins de santé Vivalia, les hackers ont donné un délai supplémentaire pour le versement de la rançon. Le gang menace, sinon, de rendre publiques 400 GB de données.
Dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 mai, les hôpitaux de l’intercommunale de soins de santé Vivalia étaient victimes d’une attaque informatique de grande ampleur.
Celle-ci a été revendiquée par le gang de ransomware Lockpit. Il affirme avoir crypté 400 GB de données qu’il devait rendre publiques si une rançon n’est pas versée avant le 26 mai. L’heure limite était 18h13.
D’après nos confrères de l’Avenir, un nouveau délai de 2 jours a été accordé. Une information reprise sur plusieurs comptes Twitter qui suivent de près les conséquences de cette cyberattaque.