Réfugiés ukrainiens, les sirènes ce lundi, ce n’est qu’un test

Ce lundi, comme chaque premier lundi du mois, les services de secours vont tester le réseau de sirènes installé à travers le pays. Le ministère de l’Intérieur et le CGDIS souhaitent prévenir tout risque de stress parmi les réfugiés ukrainiens.

D’après les autorités, pour les plusieurs milliers de réfugiés venus des zones de combat qui ont trouvé refuge au Luxembourg, le son du test des sirènes pourrait engendrer une situation de stress accru si elles ne sont pas informées auparavant.

Le ministère de l’Intérieur et le Corps grand-ducal d’incendie et de secours (CGDIS) collaborent donc avec l’Office national de l’accueil (ONA), la Croix-Rouge luxembourgeoise, Caritas Luxembourg et l’ASBL LUkraine pour transmettre l’information aux réfugiés.

Un appel est également lancé aux familles hébergeant des ressortissants récemment arrivés d’Ukraine pour qu’elles les informent également de la nature de ces tests et du fait qu’ils continueront d’avoir lieu.

Il est rappelé que l’objectif de ces tests réguliers est de garantir la fonctionnalité de ce moyen d’alerte à la population, notamment prévu en cas d’alerte nucléaire.