En pleine bourre avant la trêve, le dauphin vit un hiver contrarié entre blessures, covid et mercato. Pas de quoi perturber Stéphane Leoni, habitué à composer avec les aléas.
Il a beau relativiser, convenir qu’«il faut bien une trêve», Stéphane Leoni doit bien admettre aussi que celle-ci, pour avoir coupé ses ouailles dans leur série de six victoires consécutives en championnat (plus une en Coupe), revêtait à sa survenue mi-décembre un caractère assez frustrant. Ni les fêtes ni le temps n’auront vraiment permis de le dissiper : alors que la phase aller s’est pour le Progrès résumée à un chantier quasi permanent, entre départs tardifs, attaque à remodeler et blessures en pagaille, la préparation hivernale a, elle aussi, apporté son lot de contrariétés à Niederkorn.
«On n’était pas beaucoup à l’entraînement, ...
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