Jenny Warling, pas aidée par le tirage au sort, s’est frayé une place en petite finale à Paris.
Jenny Warling venait à Paris en quête de réponses : «J’ai besoin de voir où je me situe par rapport aux autres», expliquait l’ancienne championne d’Europe (-55 kg), qui a repris l’entraînement karaté il y a à peine deux semaines, après deux mois sans monter sur un tapis.
Avant de participer, d’ici quelques semaines, à une compétition décisive dans l’attribution des deux derniers billets pour les World Games en Alabama cet été, elle a donc choisi l’Open de Paris pour effectuer les derniers réglages. L’épreuve française ne bénéficie plus du statut de K1, réservé au top 32 mondial, si bien ...
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