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[Littérature] «L’Île aux arbres disparus», de l’insouciance aux déchirures


Grande magicienne de l’écriture, Elif Shafak nous avait enchantés dans le passé avec La Bâtarde d’Istanbul (2007) (Photo : leonardo cendamo)

Pas moins de trois grands noms de la littérature contemporaine y sont allés de leurs compliments : Colum McCann, William Boyd et Margaret Atwood. Le premier assure que «les mots de l’auteure créent un nouveau monde à notre attention», le deuxième évoque «un roman magique et merveilleux qui lève le voile sur notre histoire récente» et la dernière parle d’«un roman proprement bouleversant sur les sombres secrets de la guerre civile et les méfaits de l’extrémisme». Des éloges destinés au douzième et enthousiasmant roman d’Elif Shafak, L’Île aux arbres disparus. À 50 ans, la romancière turque vit à Londres, puisque le régime de Recep Tayyip Erdoğan la tient, depuis de nombreuses années, sous haute surveillance ...


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