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[Littérature] Michel Houellebecq : «anéantir», ou la possibilité du «nihil»


Passé de la gauche à la droite, à 65 ans, Michel Houellebecq demeure fidèle à sa légende. Photo AFP

Bien avant son arrivée en librairies, c’était déjà l’événement. Avec anéantir, Michel Houellebecq, le «Droopy» de la littérature française contemporaine et accessoirement l’écrivain francophone le plus connu dans le monde entier, signe son huitième et nouveau roman après Sérotonine (2019).

Fidèle à lui-même, ou au personnage littéraire dans les habits duquel il s’est glissé depuis ses débuts voilà trente ans, une fois encore, il incite à la déprime, voire à la dépression, tout en ne gommant pas la possibilité du bonheur.

Dans anéantir, le prix Goncourt 2010 raconte l’amour, la fin de vie, la politique en 2027, le terrorisme numérique, les liens ...


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