Le vent de renouveau porté par le premier gouvernement allemand formé par trois partis rappelle de bons souvenirs au trio LSAP-déi gréng-DP. Pour le CSV, le retour en 2013 est bien plus douloureux.
Destins croisés pour les mondes politiques allemand et luxembourgeois. Ce mercredi, un règne long de 16 ans des chrétiens-sociaux de la chancelière Angela Merkel a pris fin. Son successeur, le social-démocrate Olaf Scholz (SPD) forme désormais une coalition inédite avec les Verts (Die Grünen) et les libéraux (FDP). Le Grand-Duché a connu un scénario semblable à l’automne 2013 avec l’union conclue entre les libéraux du DP, les socialistes du LSAP et les Verts de déi gréng (lire également ci-contre).
À Berlin comme à Luxembourg, les conservateurs de la CDU/CSU et du CSV vivent et ont vécu le dur chemin dans l’opposition. «Il ...
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