D’emblée, la pochette interpelle. Avec cet imposant bloc de roche volcanique qui prend toute la place, on croirait là un album de post-rock, à l’imagerie toujours ancrée dans la terre et le minéral pour mieux partir vers le stratosphérique.
Des méditations aériennes, naturelles même, il en est bien question, mais elles viennent de Damon Albarn, à l’esprit vif et pertinent depuis trente ans. Intarissable, sa créativité a fait de nombreux remous, a pris de multiples formes et couleurs, a revêtu plusieurs identités (Blur, Gorillaz, The Good, the Bad and the Queen, Africa Express…).
En solo, par contre, le musicien anglais est resté jusqu’alors plutôt discret, préférant se cacher derrière un groupe fanfaron ou un collectif technologique branché ...
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l’ensemble des articles, découvrez nos offres d’abonnement.