Alex Donnersbach, réélu président des jeunes chrétiens-sociaux, veut enfin que les choses bougent et que les querelles cessent. Les derniers éclats du CSV devraient sonner le glas d’une époque.
Chez les jeunes chrétiens-sociaux (CSJ), les choses sont plus claires. Leur récent congrès national et virtuel a reconduit Alex Donnersbach à son poste de président avec 98 % des voix. Il était le seul candidat, ce qui facilite le choix. Alors que la vieille garde s’entredéchire en pleine lumière, le CSJ travaille plus discrètement à se faire une place dans ce parti qui parvient avec difficulté à renouveler ses personnels politiques.«Oui c’est difficile, ça n’allait pas encore assez mal peut-être mais cette fois ça fait mal», reconnaît Alex Donnersbach en se référant au départ précipité de Frank Engel et à sa dénonciation au parquet pour emploi fictif. Une affaire qui ne redore pas le blason d’un parti arrimé depuis deux législatures aux bancs de l’opposition.
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