Selon les estimations du ministère de la Santé, le nombre de personnes souffrant de démence devrait être multiplié par 1,5 d’ici dix à quinze ans.
Actuellement estimé à 6 000 cas, il devrait donc passer à 8 500. Dans une réponse parlementaire, la ministre de la Santé, Lydia Mutsch, fait savoir que de telles estimations doivent pousser la société à s’adapter notamment au vieillissement de la population et à la durée des soins qui l’accompagnera.
Le programme national de prévention de la démence, mis en place en 2013, est également suivi par le ministère de la Famille qui devrait s’y impliquer dans un futur proche.
Cette collaboration entre les deux ministères devrait permettre de répondre à toutes les questions dans le domaine de la gériatrie, et sur le problème de société qu’est la démence.
LQ